n°57 — Le livre photo : Le nouveau visage de la photophilie. Auteur : Clément Chéroux + une sélection de livre réalisée avec Théophile Calot
Avril/Mai 2025
n°57 — Le livre photo : Le nouveau visage de la photophilie. Auteur : Clément Chéroux + une sélection de livre réalisée avec Théophile Calot
Avril/Mai 2025
n°17 — Un acronyme : ACAB. Auteurs : Ariane Bosshard, Jérôme Dupeyrat, Olivier Huz et Julie Martin
Épuisé — Disponible uniquement avec l’abonnement à la saison 2
Auteurs : Ariane Bosshard, Jérôme Dupeyrat, Olivier Huz et Julie Martin
20 pages, 21 × 29,7 cm, CMJN
26 novembre 2019
ISBN: 979-10-95991-15-1
ISSN: 2558-2062
Épuisé — Disponible uniquement avec l’abonnement à la saison 2
Auteurs : Ariane Bosshard, Jérôme Dupeyrat, Olivier Huz et Julie Martin
20 pages, 21 × 29,7 cm, CMJN
26 novembre 2019
ISBN: 979-10-95991-15-1
ISSN: 2558-2062
L’acronyme ACAB, souvent vu dans l’espace urbain sous forme de graffitis ou de stickers, est apparu au Royaume-Uni dans les années 1970 en lien avec la culture punk, et y a été popularisé lors des mouvements sociaux des années 1980. Signifiant « All Cops Are Bastards », il s’est largement répandu dans l’espace public international ces vingt dernières années, dans le sillage de diverses mouvances politiques, de l’altermondialisme aux gilets jaunes en passant par le black bloc et les ZAD, et en faisant également l’objet de diverses variantes telles que « All Capitalists Are Bastards », « All Colors Are Beautiful » ou encore « All Cats Are Beautiful ».
Observer les inscriptions ACAB (ou 1312, en version chiffrée) permet de traverser de multiples terrains politiques, mais aussi plusieurs cultures visuelles (anar, punk, hip-hop, LOL) parmi lesquelles migre cet acronyme. C’est au cours de cette circulation scripturale, graphique et visuelle qu’il devient à la fois un signe de reconnaissance et un énoncé polysémique.
n°08 — Une résidence : Coline Sunier et Charles Mazé à la Villa Médicis. Auteur : Thierry Chancogne
Entretien avec Coline Sunier et Charles Mazé par Thierry Chancogne
20 pages, 21 × 29,7 cm + 1 poster A2 (réservé aux abonnés ou sur demande)
07 février 2018
ISBN : 979-10-95991-05-2
ISSN : 2558-2062
Entretien avec Coline Sunier et Charles Mazé par Thierry Chancogne
20 pages, 21 × 29,7 cm + 1 poster A2 (réservé aux abonnés ou sur demande)
07 février 2018
ISBN : 979-10-95991-05-2
ISSN : 2558-2062
Relevés typo-topographiques
Alors qu’elle était encore étudiante à l’ésad Valence, Coline Sunier avait, avec Grégory Ambos, frappé la première de couverture du livret associé au programme de Zak Kyes, Forms of inquiry, d’une série de fleurons prélevés dans le patrimoine graphique plus ou moins héraldique des emblèmes très locaux.
Lorsqu’elle fonde son studio avec Charles Mazé, le duo poursuit ce travail de collection qui est à la fois une des étymologies de la lecture et une des caractéristiques de l’esthétique conceptuelle de la liste des années 1970. D’abord dans la refonte de l’identité de l’ésad réalisée en 2012-2013. Ensuite, dans le travail de résidence à la Villa Médicis Come vanno le cose? consacré aux relevés, sur les murs de Rome de 1512 graffiti dessinant en creux le portrait d’un mystérieux survivant peut-être fantasmé des Brigades Rouges. Enfin dans le travail d’identité développé depuis peu pour le Centre d’art contemporain de Brétigny.
La collection des signes de pouvoir et des traces de résistance profondément inscrits dans les matières toujours politiques des lieux s’accompagne souvent d’un effort de traduction typographique qui rappelle aussi le travail de typisation des écritures personnelles de Fernand Baudin réalisé pour le catalogue du prix éponyme 2012.
n°22 — Numéro Spécial : Les affiches d’artistes. Auteurs : Thierry Chancogne, Jérôme Dupeyrat, Mathias Augustyniak
Auteurs : Thierry Chancogne, Jérôme Dupeyrat, Mathias Augustyniak
72 pages, 21 × 29,7 cm, CMJN + 1 PMS
27 mai 2020
ISBN: 979-10-95991-21-2
Auteurs : Thierry Chancogne, Jérôme Dupeyrat, Mathias Augustyniak
72 pages, 21 × 29,7 cm, CMJN + 1 PMS
27 mai 2020
ISBN: 979-10-95991-21-2
À l’occasion de la visite de l’exposition au MRAC Occitanie/Pyrénées-Méditerranée « Honey I Rearranged The Collection », Jérôme Dupeyrat et Thierry Chancogne reprennent leur discussion autour des rapports controversés de l’art et du graphisme à partir d’une collection historique de « posters d’artistes ».
Le poster ou l’affiche d’artiste est à la fois l’ancien support obligé de la publicité des manifestations artistiques produit par les artistes, le médium historique d’une certaine passion de la peinture de l’affiche à la française comme celui de la volonté de démocratisation de l’art d’une certaine pratique artistique, le symptôme ou le symbole de possibles nouveaux rapports du graphisme et de l’art à l’ère d’une nouvelle culture graphique des artistes et d’une nouvelle ambition artistique des graphistes.
Les échanges thématiques nourris de références théoriques, artistiques et graphiques issues de l’histoire récente et contemporaine seront ponctués de réflexions de Mathias Augustinyak, fort de ses expériences du poster pour artistes, du poster d’artiste, du poster artistique, de l’art du poster.
Numéro spécial 72 pages