n°57 — Julia Born
fin 2025
Plus d’informations à venir
n°57 — Julia Born
fin 2025
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n°30 — Donner corps : le specimen typographique chez Lineto. Auteur: Olivier Lebrun
Auteur : Olivier Lebrun
Numéro Spécial : 68 pages, 21 × 29,7 cm, CMJN + 1PMS en couverture
03 mars 2021
ISBN: 979-10-95991-18-2
ISSN: 2558-2062
Auteur : Olivier Lebrun
Numéro Spécial : 68 pages, 21 × 29,7 cm, CMJN + 1PMS en couverture
03 mars 2021
ISBN: 979-10-95991-18-2
ISSN: 2558-2062
n°01 — Une collection : Rouge-gorge aux éditions Cent pages par SpMillot. Auteur : Thierry Chancogne
Auteur : Thierry Chancogne.
20 pages, 21 × 29,7 cm, CMJN
25 octobre 2017
ISBN : 979-10-95991-04-5
ISSN : 2558-2062
Auteur : Thierry Chancogne.
20 pages, 21 × 29,7 cm, CMJN
25 octobre 2017
ISBN : 979-10-95991-04-5
ISSN : 2558-2062
Sp Millot. S pour Sophie, P pour Philippe. Sp comme le monogramme typographique d’une entité ligaturée. Millot comme « ville » et pas comme « Villon » – que Philippe adore pourtant tellement – pour la famille.
Sp Millot. Un travail du texte par des graphistes qui le lisent. Un travail lettré de la lettre et de sa composition dans la page et la séquence du livre. Un travail typographique qui sait qu’inscrire un écrit est aussi bien dessiner qu’écrire, que réfléchir et faire jouer l’écriture. Décider, désigner, signer. Se raconter des histoires dans l’Histoire et disséminer les indices. Arranger et faire miroiter les matières. Matières du récit, matières du texte, matières du livre et des conditions de sa mise en œuvre.
n°02 — Une plateforme technique : www.colorlibrary.ch par Maximage. Auteure : Manon Bruet
Épuisé
Auteure : Manon Bruet.
12 pages, 21 × 29,7 cm, Noir et Cyan + 1 poster A2, 3 PMS
+ 1 poster A2, CMJN (réservé aux abonnés) (épuisé)
8 novembre 2017
ISBN : 979-10-95991-04-5
ISSN : 2558-2062
Épuisé
Auteure : Manon Bruet.
12 pages, 21 × 29,7 cm, Noir et Cyan + 1 poster A2, 3 PMS
+ 1 poster A2, CMJN (réservé aux abonnés) (épuisé)
8 novembre 2017
ISBN : 979-10-95991-04-5
ISSN : 2558-2062
Le projet de recherches Workflow, mené à l’écal par Tatiana Rhis, Guy Meldem, et Julien Tavelli et David Keshavjee (Maximage), s’intéresse aux nouvelles technologies de l’objet imprimé. Il consiste en une série d’expériences qui tentent de déjouer les technologies de production aujourd’hui à disposition, provoquer le hasard et les accidents afin d’obtenir des résultats inédits. Plus que de se questionner sur le détournement possible des outils, Workflow en explore la technicité, les modes de fonctionnement et les failles. Ce programme poursuit ainsi le champ d’expérimentations ouvert par le studio suisse Maximage depuis 2008. Déjà dans le cadre de leur diplôme à l’écal, Julien Tavelli et David Keshavjee associaient les techniques manuelles et numériques pour développer leurs propres outils de production, et notamment leurs propres modalités d’impressions. De leurs expériences sont nées, entre autres, la typographie « Programme », et la publication « Les impressions magiques », qui apparaît aujourd’hui comme un objet manifeste de leur démarche.
Un des premiers résultats du programme Workflow est la création d’une série de profils colorimétriques permettant de convertir des images numériques pour l’impression avec une, deux, trois, quatre ou cinq couleurs d’accompagnement, qu’elles soient basiques, pastels, fluos ou métallisées.
Le travail sur ces profils a deux visées. Il sert à sensibiliser les étudiants de l’écal à la gestion et la théorie de la couleur; mais il permet aussi, et ce pour la première fois, l’automatisation d’opérations et de réglages jusqu’alors réalisés au cas par cas et manuellement sur les logiciels de retouches et de PAO.
Revendiquant une solution « novatrice » et « professionnelle » pour le traitement de la couleur, l’écal et le programme Workflow lancent en 2016 le site www.colorlibrary.ch, qui propose ces profils à la vente. La plateforme apparaît comme une bibliothèque en ligne présentant une grande variété de profils aux différentes combinaisons colorées. Les différents profils s’affichent à l’écran, appliqués aux photographies de l’iranienne Shirana Shahbazi, qui semblent rejouer les codes des images types Photoshop—du papillon à l’œil et de la nature morte à la cascade.
À partir de l’analyse de la structure de cette plateforme, des langages esthétiques et terminologiques qu’elle convoque et de leurs limites, nous ouvrirons plusieurs champs d’investigations, plus largement liés à la question des outils et des modes de production des images.